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Abstract Au terme de cette etude, il est temps de tirer des conclusions auxquelles notre travail a abouties. Disons tout d’ abord que ce travail, fruit de quatre ans de recherches assidues saus la direction d’une equipe de professeurs qui ont montre une conscience professionnelle tres rare, peut etre considere comrne Ie point de depart pour des recherches approfondies de litterature comparee sur la question d’ Algerie qui res’te jusqu’ a present jeune pour de futurs chercheurs. Comparer 1’incomparable c’ etait Ie defi auquel il fallait fa ire face tout au long de cette etude. Comment comparer deux theatres appartenant a deux nations en guerre ? Comment reconcilier 1’inconciliable ? En fait, Ie risque devient tres sensible devant ce type de questions. N ous avons pu remarquer que la litterature joue un role capital dans la reconstitution des faits. Si Ie discours historique a donne une vision globale de la guerre d’ Algerie, la litterature a tamponne cette vision de nuances et d’ un certain humanisme. Bien qu’ils soient de nationalite fran<;aise, Camus, Sartre et Genet avaient un certain humanisme dans leurs regards sur la question d’ Algerie. Sans crainte d’ etre traltres ou injustes, ils soutenaient, chacun a sa fa<;on, Ie peuple algerien opprime et colonise contre leur pays. On a pu constater egalement que la litterature pourrait en certaines mesures corriger certaines theses divulguees par des historiens dans Ie monde entier. Si les historiens fran<;ais insistaient sur Ie terrorisme algerien lors de la guerre d’ Algerie, si les historiens du monde arabe saisissaient l’ occasion de la guerre d’ Algerie pour evoquer l’ ancien et Ie perpetuel comEt entre Ie monde arabe et l’ Occident, la litterature rapprocherait les nations et reconcilier l’inconciliable. On a vu comment Genet tente de jeter un pont entre une France avide de coloni l’ occupation d’ Algerie paralysee par la triple e pauvrete d’ autre part. Yacine, developpe la cherchaient a tout prix Q-qtp:.e&.~&. l\A~s( vfoi tranc.o-arane et a son reve algerien d’indepen legendaires. S’il a rernar ses pieces, if a Tf?ussi a n franc;ais ni Algeriens. A Genet, i1 a tente de reve etait convaincu tout au 10 entre Fran<;ais et Algeri mais il n’ a jamais in oppressions. N otons donc que Ia qu comme une question tragi arabe. Elle est egalement litterature fran<;aise et ara commence notre etude, cinquante annees qui declara tion de la Revoluti commun dans les journaux arabe) et quelques (Euvres revivre cette memoire. litteraire et theatrale sur c d’interroger d’abord les CE et surtout \es honc;a. |