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Abstract « charaf » a plusieurs dimensions culturelles : la culture ou les traditions spécifiques à une communauté. L’identité est l’appartenance linguistique et idéologique à un groupe. A travers l’altérité et l’interculturel, nous connaissons l’autre et identifions les culturèmes. Le texte littéraire contient des marqueurs culturels qui représentent des obstacles à la traduction. Ces culturèmes produisent plusieurs types d’interférences culturelles : l’emprunt, le calque, le contresens et l’omission. Le traducteur doit avoir les compétences nécessaires à la traduction : communicationnelles, linguistiques et interculturelles. L’approche de Catford porte sur la préservation linguistique de l’original. Le Skopos opte pour le lecteur cible. La stylistique comparée traite les procédés de la traduction : le maintien, l’adaptation, l’équivalence fonctionnelle, la transposition, la modulation, la substitution et la connotation. Le contact des langues et le bilinguisme produisent des interférences interlinguistiques, intralinguistiques et sémantiques. Trois questions font l’objet de notre thèse : Comment les enjeux d’altérité et d’identité se présentent dans « charaf » ? Quels sont les stratégies suivies par Richard Jacquemond pour traduire les termes étrangers dans « charaf et l’honneur » ? Quels sont les impacts des interférences linguistiques sur la traduction de l’oeuvre littéraire ? Concernant les interférences culturelles, l’anglicisme représente une menace à la langue française. La transcription semble le moyen efficace pour le transfert des noms propres. Les règles de la langue source ne sont pas respectées ( changement verbal, élision, explétif, contresens et omission ). Un grand nombre de phrases, paragraphes et pages a été omis dans le texte traduit produisant des erreurs sémantiques. |